Une fois dans les poumons, le sang se charge en oxygène et revient dans le cœur, mais cette fois, dans sa partie gauche, pour être propulsé dans l'aorte, la plus grosse artère de l'organisme, puis dans tout le corps grâce à un gigantesque réseau vasculaire. Grâce à leur pourcentage de masse grasse plus élevé et à sa distribution périphérique particulière, ce coût énergétique est plus faible de 30 % chez les femmes que chez les hommes. L’approche « classique » par sommation des facteurs de risque permettant de stratifier le risque global (faible - modéré - élevé) laisse progressivement place à des modèles mathématiques quantifiés en % correspondant à une probabilité de survenue d’un événement cardio-vasculaire dans les 5 à 10 ans à venir. D’un autre côté, la sensation retardée des symptômes et la survenue plus fréquente d’extrasystoles (indépendante de la température de l’eau de 22 à 32 °C) lors de la natation par rapport à un effort terrestre ont été rapportées dans plusieurs études. Enfin, son utilisation dans les programmes de réadaptation cardiaque (coronarien et insuffisant cardiaque) est de plus en plus fréquente sous réserve d’un contrôle de la température de l’eau et de la tolérance individuelle rythmique.
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